Les nuages s'assombrirent, et le vent se leva.
La lumière ne tarda pas a se faire plus perçante, et le vent plus sifflant.
Les feuilles s'envolères dans la rue, déserte a cette heure ci, et la porte de la taverne s'ouvrit, poussée par le vent.
Peu après, une ombre franchit le seuil, et referma la porte derrière lui.
Cette ombre, démasquée par la lueur vacillante des chandelles, révéla un ètre, enveloppé dans une cape sombre, déchirée, et peu propre, et coiffé d'un capuchon, qui empèchait la distinction de son visage.
seul ses yeux, etaient perceptible, et une faible lueur semblait émaner d'eux.
Le voyageur s'approcha du comptoir:
-Aubergiste, une pinte!
-Tout de suite, Mr!
-Votre auberge prends la poussière, semble t-il... De nombreuses toiles tapissent vos murs...
-Les temps sont moribons, et l'avenir ne nous apprte rien de bon, par ici, seule la misère semble vouloir rester ici... Tous les braves ont étés requisitionner, pour mener une campagne, afin de chasser les nombreuses Bètes, qui viennent dévorer nos troupeaux. Nos paisibles bouftous, bien que sachant se défendre, diparaissent régulièrement, et l'on retrouve leur cadavres, nettoyés de toute chair, a l'entré du bois...
Le voyageur, engloutit lentement le breuvage obsur, et se retourne, srcutant le reste de la taverne.